Ça y est, l’équipe de France féminine de football a fini son brillant parcours, avec une défaite en quart de finale. L’échec est relatif, tant pour les joueuses dont on peut saluer le beau parcours, que pour les idéologues qui ont profité de l’occasion pour nous vendre leur projet de société. Faudrait-il pour autant s’en réjouir ?
Une chronique d’Anne Trewby et Iseul Turan
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